Parfois, la vie devient un tableau surréaliste. L’intérieur, l’extérieur de nous-mêmes se superposent, s’entremêlent, créant confusion et égarement. De ce chaos, surgit alors à notre insu, de nulle part précisément, de tout notre être probablement, une balafre de lumière, une guirlande d’envies, un trait d’union, une perceptive. Le fait est, que rien ni personne, sinon nous-mêmes, n’est en mesure, n’a l’entendement nécessaire pour donner sens à cette poésie. La beauté du chaos nous appartient, notre avenir aussi.
alencreclaire
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